Novembre 2025 : un mois électrique entre géants du rock, retours explosifs et découvertes
- Earama

- 22 oct.
- 3 min de lecture
Dernière mise à jour : 30 oct.
Après un automne déjà brûlant, novembre poursuit sur sa lancée avec une programmation d’une densité rare. Du metal le plus massif aux envolées pop, des légendes toujours flamboyantes aux jeunes prodiges, chaque soir promet son lot d’émotions fortes dans les salles parisiennes.

Le mois démarre sur les chapeaux de roues avec Volbeat au Zénith le 2 novembre, les maîtres danois du heavy rock’n’roll promettant un set énergique mêlant tubes et nouvelles pépites. Le même soir, les fans de metal plus épique pourront choisir All For Metal et Grailknights au Nouveau Casino pour une soirée placée sous le signe des hymnes héroïques.
Le 4 novembre, Last Temptation prendra le contrôle du Petit Bain avec un hard rock brûlant d’authenticité, avant que Puggy ne déploie sa pop lumineuse à l’Olympia le 5 novembre. Le lendemain, Orbit Culture investira le Bataclan : groove, puissance et intensité brute au programme.
Le 8 novembre, l’énorme soirée The Offspring + Simple Plan à la Défense Arena s’annonce comme l’un des événements du mois : un véritable voyage dans les années 2000, porté par deux monuments du punk rock. Pendant ce temps, les japonaises déchaînées de Hannabie livreront un show ultra-dynamique à l’Élysée Montmartre.

Le 9 novembre, place à Bob Mould, figure culte de Hüsker Dü, à la Maroquinerie, avant le grand hommage à Pink Floyd signé Brit Floyd à l’Olympia le 10 novembre, et le retour très attendu de The Plot In You au Bataclan le même soir.

Le lendemain, Marilyn Manson fera son grand retour au Zénith (le 11 novembre), dans une prestation qui ne manquera pas de faire parler.
Le 12 novembre, soirée tout en contrastes : Roller Derby jouera au Supersonic Records tandis que Jared James Nichols électrisera le Café de la Danse avec son blues rock brut. Le 13 novembre, Stray From The Path apportera sa rage hardcore à l’Élysée Montmartre pendant que The Fray, figures de la pop-rock américaine, offriront un concert intimiste à la Salle Pleyel.

Le 15 novembre, les Dropkick Murphys prendront d’assaut l’Adidas Arena pour une soirée 100 % punk celtique. Le lendemain, double événement : Christone “Kingfish” Ingram, prodige du blues moderne, à la Cigale, et Turnstile au Zénith, le groupe hardcore le plus excitant de sa génération.
Le 17 novembre, Halestorm et Bloodywood partageront la scène de l’Olympia pour une soirée explosive mêlant hard rock et metal fusion.

Le 20 novembre, c'est Till Lindeman qui amènera son metal industriel au coeur de l'Accor Arena à l'occasion de la tournée 'Mein Welt' !
Le 21 novembre, Ice Nine Kills transformera la Salle Pleyel en film d’horreur musical, suivi le 22 novembre par Rise Of The Northstar, qui viendra défendre son hardcore à la française à l’Olympia. Le week-end du 23-24 novembre verra alterner la fougue rock de The Subways (Maroquinerie), la légende du blues Popa Chubby (Olympia) et le retour d’All Shall Perish au Glazart. Le 25 novembre, Brent Hinds (Mastodon) proposera une parenthèse intimiste à Les Étoiles.
La dernière semaine de novembre s’annonce démentielle. Le 26, la scène parisienne vibrera sous quatre concerts d’envergure : Coldrain (Trabendo), Bad Situation (Backstage), Nothing More (Élysée Montmartre) et Melrose Avenue (Nouveau Casino).
Le 27 novembre, Pogo Car Crash Control retournera la Cigale tandis que Jamiroquai investira l’Accor Arena pour un retour funk ultra attendu. Le 28 novembre, les Suédois de Sabaton feront rugir l’Accor Arena, accompagnés par The Rasmus à la Cigale et Vower au Backstage By The Mill.

Enfin, le mois s’achèvera en apothéose : Gojira, les maîtres incontestés du metal français, conquerront l’Accor Arena le 30 novembre, pendant que Nothing, Nowhere. offrira une soirée plus introspective à la Maroquinerie.
Du punk nostalgique à la furie du metal moderne, du funk galactique de Jamiroquai aux racines blues de Kingfish, novembre déploie une affiche vertigineuse à Paris. Chaque soir promet une atmosphère unique, des instants d’émotion pure et la certitude que la scène live française n’a jamais été aussi vivante.








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